La mort ne nous séparera pas

Et si l’amour était plus fort que la mort ?

Lorsque Franck rencontre l’homme de sa vie, c’est le bonheur total. Mais après un mariage et plusieurs belles années de vie commune, tout s’effondre : son compagnon est atteint d’un cancer, qui finira par l’emporter. Avant de mourir, ils s’étaient promis qu’ils « resteraient connectés, même après ».

Lorsqu’un papillon « messager de l’au-delà » se pose sur son épaule quelques jours après le décès, Franck comprend que son âme sœur est toujours là, à ses côtés. Très vite, arrive le besoin d’écrire, pour raconter leur amour et les nombreuses synchronicités qui l’ont aidé à ne pas sombrer.

Pour Franck Laguilliez Arrondeau, aider les autres et s’ouvrir à la spiritualité s’est aussi imposé comme le plus beau chemin pour accepter le départ de l’être aimé et continuer sans oublier.

L’auteur
Franck Laguilliez Arrondeau a exercé pendant des années le métier de photographe puis a changé de voie pour se consacrer pleinement à la spiritualité et se former à l’énergétique, au magnétisme ainsi qu’à la lecture akashique.

« Ce livre m’a bouleversée. Franck Laguilliez Arrondeau a une manière déchirante de montrer que l’amour est tellement plus fort que la mort. Je comprends l’urgence de ce texte. Il parlera à beaucoup de gens en souffrance. » AMÉLIE NOTHOMB

« Un livre qui, je suis sûre, touchera de nombreux lecteurs. » CHANTAL LAUBY

Et si l’amour était plus fort que la mort ?

Avant-propos

Ce livre s’est écrit à deux mains, la mienne et celle de mon mari décédé d’un cancer à l’âge de 42 ans. Je ne sais pas si sans lui j’aurais eu l’idée de poser ces maux sur le papier. Lors de ces périodes d’écriture, j’ai pu le sentir à mes côtés, me souffler les mots. Presque palpable. J’aimais sentir son odeur près de moi, comme avant…

Très vite, en l’écrivant, j’ai compris que ce livre pourrait aider d’autres personnes ayant connu la perte d’un être cher.

Terminer ce livre est devenu une sorte de mission personnelle.

Si notre histoire pouvait aider ne serait-ce qu’une personne en souffrance, il fallait faire ce livre.